Dès le début mai, beau temps mauvais temps, c’est vers les trois heures du matin qu’environ mille personnes se lèvent et convergent vers les ports, prêtes à lever des casiers de homard pour créer du bonheur un peu partout dans le monde. En plus de faire tourner une très grande partie de l’économie de l’archipel : « C’est six jours par semaine, sauf le dimanche », explique Gabriel